Extrait à partir du chanvre, le CBD ou cannabidiol est une huile qui contient un large spectre de cannabinoïdes d’origine naturelle. Comptant parmi les traitements homéopathiques, le CBD est reconnu pour procurer une puissante combinaison d’antioxydants et de neuroprotecteurs.

Le CBD a fait l’objet d’innombrables études au cours de ces dernières années. Il s’est révélé être un traitement potentiel pour :

  • L’anxiété;
  • Les crises d’épilepsie;
  • La colite;
  • Les douleurs musculaires;
  • Les lésions hépatiques;
  • L’hypertension artérielle;
  • La SSPT;
  • Les troubles psychotiques.

Il se pose également comme un remède très efficace pour les personnes qui ont subi un AVC. Bien que le CDB soit extrait d’une plante considérée comme un opioïde, il a été prouvé qu’il ne faisait pas planer. Pour cette raison, il n’a pas pour vocation d’être utilisé comme un antidouleur, au même titre que la morphine par exemple.

Légitime, le CDB est un produit de traitement à part entier. Les résultats des études sur le CDB n’ont pas manqué de ravir la communauté scientifique américaine, ainsi que les consommateurs qui sont de plus en plus nombreux à se tourner vers les traitements alternatifs.

Cette huile doit sa popularité, en partie, grâce au fait qu’il n’entraine aucun effet secondaire grave, et aussi parce qu’il ne risque pas de provoquer une dépendance, comme il est le cas de certains médicaments délivrés sur ordonnance.

› Les études sur la CDB qui ont eu un énorme impact ces dernières années

Au cours de ces dernières années, des centaines d’études sur le CDB ont été menées dans une dizaine de pays, et par diverses institutions à travers le monde. Bon nombre de ces études ont contribué à mieux cerner l’efficacité du CDB et donc à le faire accepter par le public.

Parmi les centaines d’études menées, nous avons décidé d’en citer celles qui ont le plus marqué les esprits. Cette liste n’est pas exhaustive, cependant, elle met en évidence les avancements des équipes de chercheurs qui évoluent dans ce domaine. Précisons que les études présentées ci-dessous ne sont que les préludes aux centaines d’autres études qui sont se tenir au cours des années à venir.

› Résumé des recherches entamées sur le CDB

Avant d’aborder les études les plus marquantes sur le CDB, nous estimons qu’il est important d’aborder les conclusions globales qui résultent de ces études. Ces conclusions résultent de l’analyse de la quantité astronomique de données qui ont été récoltées sur la question. Pour faire simple :

Le CDB ne présente aucun danger pour la santé.

  • Les effets indésirables rapportés à l’issue de l’usage du CDB sont la fatigue, la diarrhée, la perte ou l’augmentation de l’appétit, la prise ou la perte de poids;
  • La majorité des études réalisées sur le CDB ont concerné le traitement de l’épilepsie ainsi que les troubles psychotiques : il y a donc un besoin urgent d’étendre les domaines d’étude;
  • Le CDB offre moins d’effets secondaires que les médicaments délivrés sur ordonnance;
  • Comme il ne provoque que peu d’effets secondaires, le CDB est susceptible d’augmenter l’adhésion du patient au traitement;
  • Le CDB peut être utilisé comme une forme de thérapie complémentaire.

Le fait que le CDB ne provoque que très peu d’effets secondaires est fréquemment mis en perspective par la communauté de scientifique. L’huile se révèle être moins agressive que les médicaments qui sont délivrés sous ordonnance. Pour ce qui est de la sécurité d’utilisation du CDB, les responsables des études assurent que le profil de sécurité est déjà établi de multiples façons.

› Le CDB et les crises de résistance au traitement

Comme nous l’avons soulevé plus haut, l’épilepsie est la maladie qui a sollicité le plus d’expertise au sujet de l’efficacité du CDB. L’épilepsie réfractaire, qui est également connue sous l’appellation d’épilepsie incontrôlée a fait l’objet d’une étude dont les résultats sont très encourageants.

Comme l’épilepsie incontrôlée est particulièrement résistante aux médicaments conventionnels, la personne qui en souffre se retrouve incapable de gérer ses troubles neurologiques.

Il tient de rappeler qu’en 2014, près de 50 millions de personnes à travers le monde souffrent d’épilepsie. Ce nombre est largement supérieur à celui de la maladie de Parkinson et à l’infirmité motrice cérébrale. Sur ces 50 millions de personnes, les 16 millions ne répondent pas aux médicaments épileptiques. Un article publié le 16 aout 2017 a révélé les résultats d’une étude menée sur l’utilisation du CDB comme moyen de traitement pour l’épilepsie réfractaire.

Paramètres de l’étude et des résultats :

Pendant 12 mois, le CDB a été testé sur un groupe de 15 personnes souffrant d’épilepsie réfractaire.

Pour cette étude, l’équipe de scientifiques s’est beaucoup plus focalisée sur le recueil des données concernant les modifications observées sur les convulsions, les effets neuropsychologiques, les effets secondaires et la perception globale de la famille à l’issue de la prise d’une dose de CDB. Bien qu’il ne s’agisse que d’une étude observationnelle, les résultats sont très prometteurs.

En effet, il a été remarqué que :

  • Chez 27 % des patients, les crises ont complètement disparu;
  • Chez 40 % des patients, les fréquences des crises ont diminué;
  • Changements neurocognitifs : la majorité des patients ont connu une amélioration de leur comportement et de leur langage. Leurs habitudes alimentaires ont changé et leur sommeil s’est amélioré en qualité. 100 % des patients ont révélé que leur humeur s’est largement améliorée après l’usage du CDB;
  • Les effets secondaires les plus fréquents concernent la fatigue et la somnolence.

Cette étude pourrait avoir un impact majeur parmi toutes les personnes atteintes d’épilepsie réfractaire et qui souhaiteraient essayer d’autres méthodes de traitement.

› Le CBD : un traitement très efficace pour les enfants atteints d’épilepsie

Cette étude est semblable à celle qui a été menée ci-dessus. L’équipe de chercheurs à qui nous devons cette recherche a exploré les effets du traitement par CBD, mais comme patients, elle a choisi des enfants atteints du syndrome de Dravet.

Pour ceux qui l’ignorent, le syndrome de Dravet est un trouble neurologique épileptique génétique très rare qui se développe dès la première année de vie d’un enfant.

Cette maladie peut engendrer des troubles du développement, ainsi que des crises convulsives. Malheureusement, les médicaments et les traitements classiques ne parviennent pas à soigner ce syndrome. Ils ne font que minimiser les symptômes.

Zoom sur les paramètres d’essai et le processus 

L’essai clinique du CBD a été effectué sur plus de 120 enfants et jeunes adultes atteints du syndrome du Dravet. Comme le protocole l’exige, certains des patients ont expérimenté le véritable traitement, tandis que les autres ont eu un placebo.

Pendant 14 semaines, les patients ont été randomisés afin de recevoir une dose quotidienne de CBD présentée sous la forme d’une solution buvable. Cette fois-ci, la quantité de CBD proposé varie en fonction du poids du patient. Information importante : les doses de CBD ont été administrées en même temps que les traitements antiépileptiques de chaque sujet.

Les résultats :

Alors que le pourcentage de crises non convulsives n’a pas changé, celui des crises convulsives a connu une baisse de presque la moitié. Il n’a été noté aucun changement parmi les patients qui ont reçu le placebo. Par ailleurs, 5 % des patients qui ont reçu le CBD ont vu leurs convulsions disparaître complètement. Parmi les patients qui ont reçu le placebo, aucun changement n’a été remarqué.

Bon nombre de personnes qui ont reçu le CBD ont déclaré avoir ressenti des effets secondaires, parmi lesquels des vomissements et de la fièvre. 62 % des personnes du groupe ayant reçu le CBD ont signalé une amélioration significative de leur état de santé général. Quant à l’équipe du placebo, seulement 34 % ont ressenti des améliorations de leur condition physique.

Les résultats de cette étude sont convaincants, toutefois, la présence des effets secondaires mériterait que l’étude soit poussée bien plus en avant.

› Le CBD permet de gérer la peur

La peur est un phénomène psychologique qui peut toucher les petits et les grands. Une étude a révélé qu’aux États-Unis, plus de 25 millions de personnes ont souffert du TSPT à un moment de leur vie.

Une équipe de chercheurs s’est alors proposé d’entamer une expertise dont l’objectif est de prouver que le CBD pouvait aider à réduire la réaction de peur qui est liée à une mémoire adverse, tout comme il est le cas du TSPT. Les résultats de cette étude, bien qu’ils ne soient basés que sur la peur, semblent prouver que le CBD pourrait jouer un rôle fondamental dans le processus de gestion de la peur.

Cette fois-ci, l’expérience a été menée sur des sujets à fourrure, plus précisément sur 277 rats Wistar.  L’expérience est la suivante : une dose de CBD a été administrée sur des rats après qu’ils aient reçu un petit choc électrique. Les cobayes traités à la CBD ont passé nettement moins de temps bloqués par la peur lorsqu’ils ont été confrontés une nouvelle fois à l’évènement effrayant. Il a été facile de conclure que le CBD contribue à consolider la mémoire de peur chez les rats, et cela, sur le long terme.

Il a également été conclu que le CBD peut perturber la consolidation des mémoires de peur généralisée lorsque le produit est administré juste après l’acquisition de la mémoire de peur. Le moment de l’administration du CBD est vital, il tient de le préciser. En effet, il a été prouvé que la dose de CBD administré en retard n’avait pas le même effet que celle qui a été administrée immédiatement.

› Le CBD permet d’aider les personnes qui ont du mal à parler en public

La peur de parler en public, également connu sous l’appellation de glossophobie est un mal qui existe réellement. Les personnes qui en souffrent ont du mal à s’en défaire du fait qu’à ce jour, outre les thérapies psychologiques, il n’existe encore aucun médicament pour guérir totalement cette phobie. Une étude a donc été menée sur un groupe de 60 hommes et femmes, âgés de 18 à 35 ans.

Les patients ont été divisés en 5 groupes. Si certains ont reçu un placebo, les autres ont reçu du CBD à diverses doses (100 mg, 300 mg, 900 mg), ou du clonazépam.

Après avoir pris le produit qui lui a été attribué, chaque participant a été invité à prendre la parole devant les autres patients. À la fin de son intervention, il devait remplir un questionnaire sur son niveau d’anxiété. Au moment, son rythme cardiaque et sa tension artérielle ont été enregistrés.

Les résultats :

Contre toute attente, c’est le clonazépam qui sort vainqueur de l’étude. En effet, ce médicament a réduit l’anxiété des participants d’une manière beaucoup plus signifiante que le CBD et le placebo.

Cependant, l’équipe de scientifiques a pu démontrer que le CBD à partir d’une dose de 300 mg parvenait à réduire l’anxiété subjective au cours de la phase post-parole. Aucun changement n’a été constaté parmi les personnes qui ont eu 100 mg ou 900 mg. Le véritable objectif de cette étude était de déterminer si l’administration de CBD est susceptible de produire une « réponse à dose inversée en forme d’U ».

Antonio Zuardi, l’un des responsables de cette étude a déclaré qu’il est fréquent qu’un médicament se mette à agir plus efficacement lorsqu’il est administré dans une dose intermédiaire, que dans une petite ou bien une grande dose.  Le CBD a clairement donné cette réponse. Il importe donc de bien choisir les doses de CBD à administrer aux personnes qui souffrent de glossophobie. D’autres études sur la question sont encore en cours.

› Le CBD : un produit très efficace contre la panique

Le trouble de la panique est une maladie psychiatrique et invalidante qui touche près de 5 % de la population mondiale. Ce pourcentage peut sembler insignifiant, mais si on le reporte en chiffre, il représente 355 millions de personnes. Ce nombre, ahurissant, a ouvert les yeux à la communauté de scientifiques qui s’est proposé de travailler sur le CBD.

Les auteurs de cette étude se sont alors mis à analyser les résultats des expérimentations passées qui ont été réalisées sur des hommes et des animaux dans le but de déterminer les effets et les réels potentiels du CBD.

Après avoir examiné les résultats des précédentes études sur le CBD et l’anxiété humaine, les auteurs de l’article ont confirmé que le cannabinoïde était un traitement très prometteur pour les troubles de paniques.

La communauté de scientifiques étrangères à l’usage du CBD s’est montrée convaincue, notamment par le fait que le CBD ne provoque pas chez le patient des dépendances. Sous une forme plus stable, le CBD pourrait représenter une alternative très prometteuse pour des médicaments comme la benzodiazépine. Il peut même remplacer les cocktails d’antidépresseur que les plus atteints doivent prendre.

› Le CBD est-il efficace contre l’hypertension artérielle ?

Nul n’est sans savoir que l’hypertension est un problème médical omniprésent dans le monde. Une étude a donc été menée pour savoir si le CBD permettant de réduire la pression artérielle. Cette étude est une première dans le genre, car à ce jour, aucune expérimentation sur l’effet du CBD sur l’état de santé cardiovasculaire de l’homme n’a pas encore été menée.

L’étude s’est déroulée suivant le protocole médical classique. Parmi les neuf volontaires masculins en bonne santé, certains ont reçu 600 mg, tandis que les autres ont pris un placebo. Ces patients ont été ensuite placés en observation afin de détecter les moindres modifications de leur système cardiovasculaire.

Pour relever les moindres manifestations cardiovasculaires, les patients ont été soumis à des tests de résistance physique, ainsi qu’à des énigmes de mathématiques sans utiliser de calculatrice. Le résultat de l’étude a été sans appel. En effet, il a été prouvé que le CBD parvenait à réduire la pression artérielle systolique et le volume systolique lorsqu’il est au repos. Les cannabinoïdes parvenaient également à « émousser la réponse de la pression artérielle face au stress ».

L’hypertension artérielle compte déjà un nombre important de traitements médicamenteux, notamment le sport et l’adoption d’un mode de vie saine, mais il semblerait que le CBD soit déjà envisagé comme le traitement le plus efficace.

› Le CBD fait-il planer ?

Le CBD est loin de susciter l’admiration de tous. En effet, il tient de rappeler que, comme il est extrait du chanvre ou du cannabis, il possède toujours une dose de THC ou Delta9 — tétrahydrocannabinol. Étant le principal composant psychoactif du cannabis, le THC instille le doute dans certains esprits.

Une étude a donc été menée dans le but de prouver que l’effet du THC n’est pas le même, selon que l’on consomme du CBD ou du cannabis dans sa forme classique.

Les chercheurs qui ont réalisé cette étude ont décidé d’élargir les expérimentations. Ils estiment que les anciennes études ne sont plus fiables et qu’elles ne font que créer des incertitudes au sujet de l’efficacité du CBD.

Les études préalables :

Une première étude a été entamée dans le but de vérifier le CBD lorsqu’il est mélangé à des solutions similaires aux acides gastriques par me moyen d’une boîte de pétri. Il a été remarqué que le CBD se transformait en THC lorsqu’il est exposé aux acides de l’estomac.

Une seconde étude a été menée sur des volontaires humains. Elle a permis aux scientifiques de déterminer que le CBD se transforme en THC lorsqu’il est pris par voie orale.

Des interprétations erronées :

Les scientifiques responsables de la nouvelle étude ont noté que les deux études réalisées antérieurement avaient été mal interprétées.

Les raisons en sont très simples :

  1. Bien que le CBD se transforme en THC lorsqu’il est mis dans une solution acide, il n’a jamais été prouvé que cette réaction se produisait vraiment dans un organisme vivant.
  2. Les résultats des études menées sur les volontaires humaines ont été classés hors contexte. Il semblerait que les traces de THC dans l’organisme étaient complètement minimes. Aussi, les urines de ces volontaires ne contenaient aucune empreinte de THC.

L’un des auteurs de la présente étude a trouvé assez surprenant que les responsables de l’ancienne étude aient juste tenté de surinterprèter les résultats. Il n’a pas manqué de rappeler que les résultats in vitro ne peuvent en aucun cas être considérés comme des résultats plausibles pour des expérimentations de ce genre.

La présente étude souligne l’énorme différence qui existe entre le CBD et le THC. Pour ainsi dire, le CBD est incapable de se lier aux récepteurs cérébraux des cannabinoïdes d’une personne. Officiellement, le CBD ne possède pas les mêmes effets intoxicants que le cannabis.

› Le CBD est efficace contre la schizophrénie

La schizophrénie est reconnue comme une maladie qui nécessite la prise quotidienne de lourds médicaments antipsychotiques. Pour savoir si le CBD pouvait être envisagé comme un traitement contre cette maladie, une étude a été menée.

Pour évaluer l’effet du CBD sur la schizophrénie, les auteurs de cette étude ont parcouru les 27 articles sur le CBD qui ont été publiés au cours de ces 26 dernières années.

Comme il manque énormément de preuves cliniques, l’efficacité du CBD contre la schizophrénie n’a pas été validée. Cependant, cet examen se pose comme un excellent point de départ pour l’utilisation prochaine du CBD dans l’élaboration des traitements neurologiques.

› L’effet du CBD sur la maladie du côlon irritable

Le côlon irritable est un syndrome contre lequel une personne bataille toute sa vie, du fait qu’il n’existe aucun traitement curatif contre cette maladie.

Même si la médecine moderne ne cesse de faire des découvertes, les traitements utilisés pour soulager le côlon irritable peuvent perdre en efficacité avec le temps.

Les recoupements effectués par des chercheurs ont permis de prouver que le CBD permettait de soulager substantiellement le syndrome du côlon irritable, bien que des essais cliniques n’aient pas encore été menés.

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› Le CBD : une aide à la récupération du cerveau après un AVC

Un AVC se produit lorsqu’un caillot de sang vient bloquer le flux sanguin d’une artère dans le cerveau. Cette maladie se soigne très bien actuellement, cependant, il a été remarqué que les patients peinent à se remettre de cette épreuve. Pour savoir sur le CBD est efficace dans la récupération du cerveau après un AVC, des études ont été menées sur des rats néonatals, qui ont été traités comme des rats de laboratoire.

Après des tests comportementaux, ainsi que d’autres études du système en cause, les chercheurs ont pu découvrir que l’administration du CBD après un AVC infère une récupération fonctionnelle sur le long terme. Le CBD, une fois qu’il est administré, permet de réduire les risques d’augmentation anormale d’astrocytes (cellules nerveuses du cerveau), la perte des fonctions neuronales, les dommages cellulaires et l’inflammation du tissu nerveux.

Si cette étude est poussée plus loin, les scientifiques sont convaincus qu’il pourrait donner de formidables résultats sur les humains.

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